Dans cet article, je me trouve dans mon appartement à Malte qui me permet de jouer sur les différents bookmakers.com. Mais si je fais cette vidéo, que j’ai intitulée « Comment gagner 10 000 euros par an en copiant des pronostics avec une simple mise de 100 euros », c’est pour vous expliquer tout de suite, juste après le générique, les différents mécanismes de paris sportifs.
Derrière ce titre accrocheur, je veux vraiment vous faire comprendre les différents mécanismes de paris sportifs, qui sont les suivants. Personnellement, je suis certains tipsters français ou anglo-saxons, je rencontre également différents parieurs, et il y a vraiment une chose à toujours, toujours avoir en tête, c’est ce yield de 10%. Qu’est-ce que c’est, un yield de 10% ? Si vous misez 100 euros, vous récupérez 110 euros, soit 10 euros de bénéfices. Donc si vous gagnez un pari à 1100 euros, et bien vous avez 1100 euros moins 1000 euros de mise = 100 euros de bénéfices. Donc ce 10% de yield, c’est le minimum auquel il faut tendre. Si vous faites vos propres pronostics ou si vous copiez des pronostics de certains parieurs, il faut avoir plusieurs choses en tête. La première chose, c’est le yield de 10%.
La seconde chose, c’est comprendre et assimiler le choc psychologique. Quand vous suivez un parieur ou si vous faites vos propres pronostics, vous avez pu vous apercevoir que c’est incroyable les montagnes russes qu’il peut y avoir. Vous pouvez avoir dix pronostics gagnants d’affilée ; ensuite, six pronostics perdants ; ensuite, trois pronostics sur quatre gagnants ; ensuite, deux pronostics perdants ; ensuite, quatre pronostics gagnants sur cinq, etc. C’est des véritables montagnes russes. Mentalement et psychologiquement, c’est prenant et usant. On peut avoir des moments de doute, on peut avoir des moments d’euphorie. Mais au final, si vous suivez quelqu’un qui s’est prouvé sur le long-terme, quelqu’un qui a réussi par le passé, vous allez toujours tendre vers ce yield d’un peu plus de 10% (cela peut être 11%, 15 %, 16%, etc.) Et cela, malheureusement, il y a vraiment, vraiment peu de parieurs qui arrivent à le comprendre. Ils pensent que si quelqu’un a un yield de 50%, cela va tout le temps être comme ca. Inversement, si quelqu’un a eu pendant deux ans un yield de 15% et a maintenant un yield de 9%, un petit coup de moins bien, eh bien ils pensent qu’il devient très mauvais.
Deuxième chose que j’ai vraiment compris et assimilé –et c’est vraiment le genre de conseils que j’aurais aimé avoir avant d’arriver à Malte, c’est d’être extrêmement patient. Un an de paris sportifs, cela équivaut peut-être à deux à trois ans de votre vie. Personnellement, je suis plusieurs parieurs, et je suis arrivé à la conclusion suivante. Grosso modo, si vous suivez un parieur, souvent, ce n’est pas sur un an, c’est soit six ou sept mois si c’est une discipline spécifique, soit huit mois, neuf mois, etc. Mais même avec une vision extrêmement pessimiste, avec une mise de 100 euros, on génère au minimum (vision pessimiste) 2000 euros de gain. Donc si on voulait compter en unités, ce serait 20 unités –et plus si cela se passe bien, évidemment.
Je dis dans mon titre « 10 000 euros de gains par an avec une mise de 100 euros » : je vais faire le détail maintenant et être le plus clair possible. Si un parieur a une échelle de 1 à 2 unités (par exemple, il dit : tel ou tel pari, c’est 1 unité, 1,5 unité, 2 unité, etc.) 1 unité, ce serait 100 euros, 1,5 unité : 150 euros, 2 unités : 200 euros. Cela, c’est la première chose à comprendre. La deuxième chose, c’est d’avoir plusieurs parieurs à suivre. Comme je vous l’ai dit, c’est minimum 2000 euros à l’année que l’on peut espérer –quand je dis à l’année, ce peut être sur huit ou neuf mois, en fonction de la saison du parieur que vous allez suivre.
L’autre facteur à prendre en compte, c’est votre capital. Si vous avez juste 1000 euros, 2000 euros de capital, il est beaucoup plus important de se focaliser sur une seule chose. C’est-à-dire que si vous avez les compétences pour faire 15% de yield par vous-mêmes, eh bien vous ne faites que vos pronostics, et c’est tout. Point barre, basta. En revanche, si vous n’avez pas du tout les compétences –les paris sportifs, vous n’avez pas que cela dans la vie, vous voulez juste avoir un petit complément de revenus ; si vous avez 1000 euros, vous dites : « je suis un parieur sur un an, point-barre ». Il vaut mieux mettre 50 euros sur le pronostic de quelqu’un et avoir 150 à 200 euros de revenus par mois, plutôt que faire des mises à 10 euros sur quatre ou cinq parieurs. Parce qu’au final, vous allez passer un peu de temps pour peu de rendement.
En revanche, si vous avez déjà des milliers d’euros ou plus, là, il est vraiment important de diversifier son portfolio. Par exemple, vous avez 10 000 euros : il vaut mieux avoir trois-quatre parieurs, ou mixer. Par exemple, vous vous dites : « un capital pour mes propres pronostics et un capital pour suivre quelques parieurs ». Cela, pour pouvoir diversifier 1) vos revenus, et 2) le risque que vous allez avoir.
Quelle que soit la stratégie que vous allez adopter, il faut toujours avoir en tête ce yield de 10%, assimiler ce choc psychologique avec des montagnes russes de pronostics perdants ou gagnants, et également avoir une excellente gestion de capital.
Si vous suivez un parieur, n’oubliez jamais que chaque parieur part du principe que le capital que vous consacrez aux paris est un capital uniquement pour lui. Donc je vais prendre un exemple bête pour que vous compreniez. Vous avez 10 000 euros. Ce parieur vous dit tant d’unités : vous mettez 5% de votre capital, c’est-à-dire 500 euros ; tant d’unités : 400 euros (cela fait 4 % du capital). Si vous suivez plusieurs parieurs, il ne faut absolument pas suivre ces différentes unités, parce que c’est évidemment dangereux. On va prendre un exemple simple : vous suivez cinq parieurs. Chaque parieur (puisque chaque parieur part du principe que le capital est consacré juste pour lui) va dire « quand c’est ma grosse fiabilité, c’est 5% ». Au même moment (je prends un cas de figure extrêmement incroyable, il y a peu de chances qu’il arrive, mais l’impossible est toujours possible en paris sportifs, n’oubliez jamais ca !), au même moment donc, les cinq parieurs que vous suivez vous envoient deux pronostics perdants. Cela fait dix pronostics perdants d’un coup, et si vous avez cette gestion de capital, en mettant 5 unités sur chaque pari, vous perdez 5000 euros, c’est-à-dire la moitié.
Donc ce qu’il faut faire, quand on a des plus gros capitaux et que l’on suit plusieurs parieurs, c’est de se dire : « au grand maximum, je mise 2 % de mon capital ». Donc on fait, on remodifie les mises, les unités par rapport aux fiabilités : si le parieur annonce 5%, vous, vous ne suivez pas que ce parieur-là, vous en suivez d’autres, et au lieu de mettre 5% (500 euros, si vous avez 10 000 euros de capital), vous dites « 5%, ce sera 200 euros ; 4%, ce sera 160 euros », etc. Ceci, pour vraiment toujours protéger son capital et baisser ce choc psychologique.
N’oubliez jamais également que vous pouvez espérer au strict minimum 2000 euros de gains. Si vous faites des mises à 200 euros, vous pouvez espérer 20 000 euros de gain à l’année ; des mises à 300 euros : 30 000 ; ainsi de suite. Vraiment, avec une mise de 100 euros, on peut espérer 10 000 euros de gains en suivant 5 parieurs –et en ayant quand même soi-même un capital un minimum important (10 000 euros est l’idéal). Si vous faites vos propres pronostics, c’est exactement la même chose. Il faut bien dissocier le capital par rapport aux mises que l’on fait et à la dispersion que l’on pourrait avoir.
Une chose que je veux ajouter : Vous allez me dire, « oui mais c’est bien beau Maxence, si tu m’annonces 10% de yield, on mise 100 euros et on en récupère 110 ; donc pour faire 10 000 euros de gains, il faut que je joue environ mille pronostics, ce qui fait trois-quatre pronostics par jour, ce qui est quand même énorme ! » La réponse est : oui ! Vous n’allez pas jouer un ou deux pronostics, vous allez plus tourner à 1000-1200 pronostics à l’année. C’est un chiffre qui impressionne comme cela, jouer 1200 pronostics. Mais en fin de compte, c’est vraiment assez faible, parce qu’au final, vous savez les habitudes de certains parieurs, vous savez également une chose qui est incroyable mais qui est vraiment pratique : c’est que si vous avez deux parieurs qui postent deux pronostics chaque soir à une précise, eh bien vous aurez jouer quatre pronostics, ca vous aura pris trois minutes. Et si l’on multiplie ces quatre pronostics par cent jours, en trois mois et demi, on est déjà à 400 pronostics. Donc vous vous dites « ah ouais, j’ai déjà fait 400 pronostics » alors que cela vous prend cinq minutes par jour pour exécuter la copie. Donc oui, on mise pas mal ; non, cela ne prend pas de temps.
Honnêtement, être un parieur rentable, je trouve ca fabuleux ; mais être un parieur malin et se situer dans l’élite… Qu’est-ce que j’appelle l’élite ? C’est toutes les personnes qui ont compris qu’il fallait se focaliser sur un yield de plus de 10%, toutes les personnes qui ont compris et assimilé le choc psychologique. Dans la théorie, c’est impressionnant comme c’est simple à comprendre, mais je peux vous assurer par le vécu que j’ai et également par l’expérience que j’ai assimilé à Malte que c’est invraisemblable, d’une semaine à l’autre, tous les cas de figure qui peuvent avoir lieu (on pouvait faire seize pronostics gagnants d’affilée, ensuite un quatre sur douze, etc.). Mais vous retombez toujours sur « vos pattes » avec ces 10% de yield. Et la dernière qualité à avoir, c’est d’avoir une gestion de capital irréprochable. Votre capital, c’est votre outil de travail. C’est le plus important et il ne faut absolument pas le détruire.
Si je vous fais également cette vidéo aujourd’ hui, c’est parce que vraiment, c’est le genre de vidéo que j’aurais aimé avoir avant mon arrivée à Malte, pour comprendre à 100% ce choc psychologique, comprendre à 100% ce 11-12% de yield, comprendre également à 100% cette gestion de capital, etc. Quand vous avez compris cela, c’est évident que vous allez être rentable. Et ensuite, vous allez pouvoir automatiser le processus et être ce que j’appellerais un parieur rentable, mais surtout malin, pour vous situer dans l’infime minorité des parieurs qui ont compris tous ces mécanismes et qui, malheureusement, le gardent pour eux-mêmes.
Par ailleurs, je vous invite également à revoir cette vidéo : « Pourquoi il est vital de parier sur les bookmakers .com et Betfair ». Dites-moi juste en-dessous de cette vidéo si vous aussi, vous avez déjà compris ou entendu parler de choc psychologique, de ce yield de 10% minimum qu’il faut toujours copier pour être rentable, et également de cette patience qu’il faut avoir dans les paris sportifs. En un mois de paris sportifs (je vous invite par exemple à faire soit des pronostics pendant un mois, soit copier par ailleurs pendant un mois), vous allez voir tous les états, toutes les choses qui vont avoir lieu. Et pensez un an, un an, comme c’est gigantesque, toutes les étapes qui vont avoir lieu ! Et si vous comprenez tous ces mécanismes, je peux vous assurer d’ores et déjà que vous allez faire des gains en fonction de votre mise. Si vous misez 100 euros, 150 euros, 200 euros, vous allez faire plus de gains (ce qui est logique) que si vous misez 50 euros. Mais n’oubliez jamais de miser en fonction de votre capital, et de ne pas faire cette erreur : « oui, j’ai 10 000 euros, je vais jouer 300 », et puis au final, vous n’avez peut-être pas forcément les 10 000 euros et vous n’êtes pas du tout à l’aise avec la mise. Psychologiquement, on est dans le cas de figure ou si les deux premiers pronostics des cinq parieurs que vous suivez sont perdants, vous vous retrouvez à dire « j’arrête les paris sportifs », ce qui est bien dommage.
Donc merci d’avoir suivi cet article. Pour une fois, je vais vous demander une chose : c’est de réfléchir. Asseyez-vous un jour dans votre canapé, dans votre fauteuil ou sur un banc, et réfléchissez à tout ce que je viens de dire. Est-ce que ca va vous paraitre évident dans le futur ? Vous pouvez vous dire : « oui, c’est vrai que c’est impressionnant, toutes ces montagnes russes en pronostics » ; « oui, je suis d’accord avec toi, Maxence : tendre un yield de plus de 10%, c’est exactement ce qu’il faut faire »… C’est pas évident, mais il y a des parieurs qui sont bons si vous n’avez pas les connaissances pour copier leurs pronostics, ou si les paris sportifs, vous n’avez pas que ca à faire, vous avez une vie de famille ou avez d’autres projets en tête. Et pensez également à ces valeurs de patience, ces valeurs de gestion de capital, ces valeurs de choc psychologique.